Articles Publique

 

 

 

 ICI & MAINs-TENANteS

  

 

.......TRANS-mettONS .......

 

 

 

 

 

 

-NOUâge&Dé-NOUâge-

émotionnel

de la vie intellectuelle

 

ENfant-Pair-ENts

 

 

 

 


ses

 

7

 

NOUâgeS

&

Dé-NOUâgeS"

-lÂ-

vie ....

 

 Dé-NOUâge

sans NOUâge

 le tournant du siècle

des Lumières

 

.

 les orphelins de parentS

la peur .....l'espérance

 

L’enfer

est pavé de bonnes intentions.

 

ENtre-confiance -&- ENtre-espérance

 

« Toutes les choses crées refusent pour moi d’être des fins. » [...] Les choses crées ont pour essence d’être des intermédiaires ( hcqS :..des metaxu...). Elles sont des intermédiaires les unes vers les autres, et cela n’a pas de fin. Elles sont des intermédiaires vers D-ieu. Les éprouver comme telles.....Ne priver aucun être humain de ses metaxu .....Simone Weil

 

 l'art des "metaxu"

  France

 

" Quand les membres ( hcqS : les NOUS ... les metaxu ... ) d’une société

n’ont plus rien en commun, il est inévitable qu’elle se disloque"...

 

aliénation .. réification...termes essentiels pour comprendre notre époque.

 


<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<< <<<<<<<< <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

 

&

 

 

 ICI & MAINs-TENANteS

  

 

.......TRANS-mettONS .......

 

     

 

 

l'école de

 

 

 

paternelle

de la boucle fleurie

 

ECOLE PATERNELLE

l'

 


  ....... en attendant qu'une "femme", veuille CO-créer

 

 

 

..." l'école  de

matrimoniale

la boucle fleurie "     .......

 

ENfants -PAIR- ENts

 

 

 

 

 

 

CORRELATs

 

 

 

   
     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

***

 

 
 

Notre Dame de la Vie

protégez nos tout petits

 

 

 

*

... empêcher que l'inculture ne triomphe ...de NOS

 vie 
*******

 

Image illustrative de l’article Veuve de Sarepta

 

... n'ayons pas ...

 ENtre-peurS

 

 

 

Mourir sagement ou chrétiennement ? Socrate et le Christ

 

 

 Espérance, reconnaissance et confiance

 

 

 

 

 

 

 

s'initier * à

...la RE-PARTITION ...

 différentiante

 

 

la fausse GRANDEUR ..

la VRAIE grandeur ...
 de(s) MONOcoq(s) .....de(s) COQ(s) ...*  des homocoqueS *
la réalité utopique* la révélation intérieure intuitive*
  <<<<<<<<<<<<<<
'homme Se déco

 

uvre Quand Il Se Mesure à L'obstacle

 

«La peur d’un enfant, c’est effroyable»

 

 

 

mOnOcoqS.com

 

 

 

de l"art de vivre

l'elan de vie

s'initier à la repartition

 

 

..... des émotionS ....

 

 

 

 

hOmÔocOqueS.fr

 

 

"Tout est ENtre-énergie"

 

L’enfer

est pavé de bonnes intentions.

 

Ne restons pas ce que nous sommes

 

les ENfants d'Abraham

portent le culte-à-Dieu

les chrétienS

prophétisent

leS espritS

 

Jacques Attali

l'ENtre-annonceur de  l'

ENtre-Âmour-comm-UNion

en occultant  l'ENtre-sexuation f-h

https://homocoques.fr/index.php/2-articlesaccesregistered/271-uberisation-des-esprits-du-monde

>>> autremet dit >>>

 

 

 .

la lutte de

  « David contre Goliath »

 

*

 

 

 

suite de

 

 

 

 

 


 

 

>

 

 

photoS du JOURs

EN

RE-animation

>>>>>>>>>>

PHOTOs

que la vie est  belle

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

 

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

ANNONCE

  des prochaines

"ENtre-VueS au 18"

 

.

>>>accès au site>>>

de l'homocoques.fr

aux racins chrétiennes

 

 

 

 

 

 

ALLELUIA

 

 

 

 

 

***

 

     
 

... allons enfants ...

 

SOYONS

CHRETIENS

POUR JESUS

 
 

.*..

 
     

 

 

 appelons de nos voeux

 

     l'âpocalypse-ENtre-dévoilement   

 

... * une REVOlution copernicienne * 

 

qui se profie à

l'horizon

 

 

 

 

 

 

_______________________________________________

 

 

 

 de l'actualité brÛlante

 

 

 

...

lutte

 

  « David contre Goliath »,

 

*

 

 

 

 

soyons

 

désormais

 

centré sur

 

UNe ENtre-mobilisation

 

de PENSée 

 

 

 

 

 

 

ENtre -PENSons

l'

par NOUS-MËME

ST - YouTube

NON

d'AUTRES

lÄ penseront

pour EUX-MÊME

 

 ***

 

 

 

plutôt que vouloir persuader

 

 

    .... de proches EN proches ....

... oeuvrons pour  un ...

 

 

WakUp

 

 

 

de NOS ENtre-conscienceS

ENdormies

René Girard

***

 

88888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888

88888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888

Oeil_quantique.JPG

 

 

 

 

.....lA.....

 

modernité 

 

qui *lave* 

plus blanc que le blanc ....

 

  

 

 TRIOMPHE

du

MENSONGE

*

 

&

de son pandémique

 

ENTRE-MORPHISME

*

 

entre6

 

Le monopole, en tant que caractéristique du capitalisme, à l’une de ses plus fortes expressions dans la concentration actuelle de la propriété des corporation médiatique et l’unification de leur ligne éditoriale qui en découlent.

La vision déformée de la réalité, de plus en plus massivement diffusée comme l’unique et véritable, a réussi à convertir la plupart de l’humanité en défenseur féroce du soi-disant droit de ce qui représente environ 1 % de la population mondiale à les exploiter, à les opprimer, à les massacrer et même à commettre des déprédations sur l’écosystème bien que cela nous condamne à l’extinction.

Circonstance aggravante, non seulement la propriété de ce qu’on appelle les « médias de masse » s’est concentrée dans les pays occidentaux, mais, de plus, les principales corporations médiatiques sont devenues des entreprises transnationales qui peu à peu ont accaparé le marché mondial tout en dévorant les petites et grandes entreprises des pays soumis en imposant des contenus qui arrivent dans les territoires les plus reculés.

.....   ..***

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TouT

 sera 

E*N

vÔie

d'accomplissement

 

 

5a1efd87087ef729f62b4b65698c7425.jpg 

 

 

... l'homonisation de l'humain ...

*** 


 

*

 .... que l' est belle ....

 

..... &§& ..... ÂlleluiÂ..... &§& .....

***

 

 


Le monde est une manifestation  * de la

beauté et de la complexité divine.*

 

le

 

tps

***

 

***

 

tentant

***

 

 

le CIEL est plus au-dessus de NOUS

que la terre sous NOS pieds

 

 

****

 

 

 

   

'Ho Hey' live in Dublin

 

EN CHANTant

 

.... d'un CHAMPs ou d' UN CAMPs ....

 

L'Honnête Courtisane

 

Der hans im schnokeloch

 

 

 

 

 

...vas vers...'

 

... Par l'ENtre-Âmour ...

la matière reçoit l'empreinte de la sagesse divine

et devient belle ....

l'

 

 

C’est notre fin

 

 

... L’ordre de l’Univers

incarné dans une pensée humaine...

Le vrai se définit ainsi...

Simone Weil

***

 

...ce sont les médias communautaires, populaires et certains médias alternatifs qui la livrent. Mais cet affrontement disproportionné ne peut que commencer à s’équilibrer avec le soutien des médias de ces Etats non soumis aux intérêts impérialistes. Ce qui engendre de grands défis et de nombreux paradoxe dont il y a peu d’expériences réellement réussies.

La tâche se complique, car maintenant, une « opinion publique », capable de dévoiler et d’affronter la guerre communicationnelle dirigée par les cartels médiatiques et leur industrie du divertissement est urgente.

 

Cette guerre cognitive

*

Les capacités cognitives *de l'esprit humain

notamment en termes de mémoire, d'imagination et d'abstraction sont probablement ce qui explique le mieux

le succès évolutif de l'espèce

 

..... pose de nouveaux problèmes à la résistance, qui, malgré les prémices de cette nouvelle modalités de guerre, ne doit pas se limiter à une  solution individuelle, mais au contraire, se joindre à une défense collective qui probablement aura beaucoup à apprendre de la culture millénaire de la Chine, des racines profondes de la culture perse, de l’arabe ou de la slave et évidemment, des très riches cultures africaines et de Notre Amérique. Ces ensembles historiques sont les bastions d’une humanité qui lutte pour une vie au-delà du capitalisme.

>>>>>>>>>

 

... l'homonisation de l'humain ...

 

 

 

---------------------------------------------------

 

 

 

 

 

 

... FRANCE ...

une pensée BInaire 

 

 

liberté - égalité - fraternité

 

l'ENtre-Solidarité

fraternelle

 

 

 

 

 

 

 ... robert l'alsacien ...

 *

 

 NOUS

tous & chac-un-e

 

*... acteur-spect-acteur ...*

responsables de ... Nos JEux ...de Nos NOUS 

... ...

 

au plus profond de NOS  coeurS


ouvrons-NOUS

 

 au 

dévoilement 

 

 

 

 de

 

**

 

d'UN réel enchevêtré

 *

 

 

**

 

 https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/psycho/les-6-comportements-sociaux-qui-nous-font-rayonner-aupres-des-autres-20230330

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

..... cherche .....

 

*SENS

-ENtre-sincérité-

SIGNIFICATION*

 

de sa VIE -EN- l vie ...

 

Le plus profond besoin spirituel des hommes n'est ni la justice ni l'ordre, mais la signification. Chaque personne a besoin que sa vie «signifie», et non seulement par son insertion dans quelque vouloir ou dans quelque entreprise collective»(Albert Béguin). Si ce besoin n'a pas disparu, qu'est-il devenu dans une société qui semble avant tout préoccupée des mécanismes de son fonctionnement? Qu'en est-il du souci de la signification à l'heure de la communication, de l'image et du paraître? L'inculture est propice à l'emprise et à l'expression débridée des affects et des pulsions qui ne trouvent plus les canaux de leur expression symbolique. Au risque de la désagrégation, d'une barbarie nouvelle qui rend le monde insignifiant et vain.

 

car

...toutes&tous  ET  chac-un...

 

"... acteur-spÊct-acteur ..." 

*

DOMINANT/dominé ou l'

ESPRIT de la Pentecôte

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

des COLORations

 

des texteS de l'homocoques.fr

 

 ENtre-identifier dans le cours des événements humains une quelconque raison qui pourrait se présenter sous la forme d’un principe ou, a minima, d’une unité de sens.

 

 d'une res-partition

 

 

MONOCOQcoqS

ou

homocoqueS

 

 

 

 

 

 

 

...... qui auraient pu faire 

 le BUZZZZZZ

 

 

 

 

 

 

 


... travailler la "misère du quotidien ..

<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<   <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

 

 

 

 

 

 mon

*

 *

 

 

 

 

 

 

 

.*. le Centre d'Initiation à .*.

 

 

aux

 

inductive
*

 

 

_methode_times_prod_web_bin_9f7229ea-64e0-11ed-9ccc-9d160947f622.jpg

 * 

 

 

 

 

 

 

 

" le N.O.M. " & " L'Apocalypse "

 

...il est LE tENps ....

....du dévo * ilement ...

 

 

.

... veuillez m'ecrire ..

de l'homocoques;fr

 

TABLE d'ÔRIENTATIONs

..des

ENtre-SENS-DIREs

&

des PREMIEREs

qui auraient du faire le BUzzzzZZZ

&

REVUE de PRESSE

 

 

 

 

 CORRELATs

 

 

 

 

  • .....ce 20.03.2023 ..... ces 14 années passées me  me dirent que l' "attitude toxique incarnée par  Danny " , ne me correspondait plus. C'est pourquoi je lui ai proposé de la vivre en amitié

 

 

 

 

.

.

.

.

  • .

https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/ces-signes-qui-prouvent-que-vous-entretenez-une-amitie-toxique-140421-196128

 

 

DÉCRYPTAGE - Certaines amitiés ne sont pas toujours bienfaisantes et bienveillantes. Une psychologue et une psychanalyste aident à identifier une relation qui nuit.

Des amis qui envoient des piques, à qui l'on doit rendre des comptes, qui brillent par leur absence lorsqu'on a besoin d'eux mais exigent de nous une entière disponibilité… S'il peut évidemment arriver de manquer à ses devoirs d'ami(e), de commettre des erreurs ou de blesser l'autre, la répétition de certains comportements peut poser question. Un déséquilibre dans la relation peut même traduire une amitié dite «toxique».

 

Le terme peut effrayer mais en réalité, il résume simplement un lien avec l'autre qui ne nous satisfait plus voire nous fait souffrir. Cette amitié peut être source d'un mal-être, d'un inconfort ou d'une emprise, ressentis par l'une des deux personnes. Certains signes évidents ou insidieux permettent d'y voir plus clair et de faire le point avec soi-même.

En vidéo, comment retrouver la confiance en soi

Une inégalité dans la relation

Donner beaucoup à l'autre en recevant moins en retour, voire sans rien recevoir du tout, prouve que la relation entretenue avec l'autre n'est pas saine et ce déséquilibre mène les deux protagonistes à leur perte. «La réciprocité, la mutualité, est essentielle dans une amitié, explique Marion Blique, psychologue clinicienne et auteure de J'arrête les relations toxiques (1). Il faut se sentir respecté et soutenu autant qu'on respecte et soutient l'autre. Si l'amitié est trop déséquilibrée, cela devient rapidement un poids.»

Un changement de comportement

Par mimétisme, au gré d'expériences ou simplement parce que l'on apprend de l'autre, il est bien normal que certaines de nos attitudes ou notre mode de fonctionnement changent. Si ces modifications sont positives, tant mieux. Attention en revanche aux paroles ou actions contraires à nos valeurs. «Certaines personnes peuvent pousser l'autre vers des chemins dangereux, commente Danièle Brun (2), psychanalyste et professeure émérite de l'Université de Paris. On peut les suivre parce qu'on a l'impression de prendre de la distance avec ce que l'on connaissait avant, l'impression de se détacher de ce à quoi on était habitué, mais il faut prendre garde à ne pas transformer l'image que l'on a de soi à n'importe quel prix.»

 

Une inégalité dans la relation

Donner beaucoup à l'autre en recevant moins en retour, voire sans rien recevoir du tout, prouve que la relation entretenue avec l'autre n'est pas saine et ce déséquilibre mène les deux protagonistes à leur perte. «La réciprocité, la mutualité, est essentielle dans une amitié, explique Marion Blique, psychologue clinicienne et auteure de J'arrête les relations toxiques (1). Il faut se sentir respecté et soutenu autant qu'on respecte et soutient l'autre. Si l'amitié est trop déséquilibrée, cela devient rapidement un poids.»

Un changement de comportement

Par mimétisme, au gré d'expériences ou simplement parce que l'on apprend de l'autre, il est bien normal que certaines de nos attitudes ou notre mode de fonctionnement changent. Si ces modifications sont positives, tant mieux. Attention en revanche aux paroles ou actions contraires à nos valeurs. «Certaines personnes peuvent pousser l'autre vers des chemins dangereux, commente Danièle Brun (2), psychanalyste et professeure émérite de l'Université de Paris. On peut les suivre parce qu'on a l'impression de prendre de la distance avec ce que l'on connaissait avant, l'impression de se détacher de ce à quoi on était habitué, mais il faut prendre garde à ne pas transformer l'image que l'on a de soi à n'importe quel prix.»

.... à la longue ....

 

Quelles qu'en soient les raisons, la peur du manque de confidentialité quand on se confie, la peur que l'autre se moque, ou la peur d'apparaître vulnérable, peuvent être des signes d'une amitié délétère. Il est important de se sentir respecté, vu et compris. «Dans l'amitié, il y a une véritable relation de confiance qui est établie. À partir du moment où celle-ci est rompue, la relation n'est pas saine. Le principe est le même dans l'échange. Si l'on ne peut pas parler sans être attaqué ou se sentir vulnérable, l'amitié n'est pas bénéfique», rappelle Marion Blique.

Le ressenti d'un sentiment d'inconfort

Se sentir mal à l'aise avec l'un de ses amis, énervé, animé ou déprimé après l'avoir vu, prouve que la relation ne fonctionne plus, voire qu'elle est toxique. En amitié, on est censé se sentir libre, vivre cette relation avec l'autre doit nous faire nous sentir bien, nous aider à aller mieux si besoin. Dans le cas contraire, «cela signifie que quelque chose ne va pas, rebondit la psychologue Marion Blique. On ne le perçoit pas forcément mentalement, mais quelque chose dans notre corps nous indique que cette relation ne nous correspond pas, et il faut l'écouter.»

Un sentiment de culpabilité

La notion de liberté de mouvement et d'esprit est essentielle au sein d'une amitié. «Quand on se sent obligé de voir l'autre, qu'on se force et qu'on se sent coupable de ne pas le faire, il faut faire attention : c'est le début de l'emprise, le début de la non-liberté», avertit la psychologue Marion Blique. L'amitié saine demande de savoir accepter que les gens n'évoluent pas à la même vitesse ni de la même façon, et que certains amis ne nous correspondent plus au fil du temps…

(1) J'arrête les relations toxiques,200p., 11,90 €, et J'arrête les croyances limitantes,200p., 14,90 €, (Ed. Eyrolles).

(2) Danièle Brun est également présidente de la Société Médecine et Psychanalyse.

 

 

 

 

 

 

DIREs-SENS

 

 

 

 
 

 

 

... la vrÂie vie ...

EN la relation d'amour comm-union

 

 

 
 

 

 

appel à mes -ENtre-proches-contemporains

..... vÔyez...Ôyez...crÔyez ...

 

...........Âppel-Â-UNe-METAnoï ............

 

 

 
 

 

 

  " EROS ma jouissance" mon grand Âmour en quête

d'Âbsolu"

 

 
 

 

Langue française

 

 
   

  . . . l'art de vivre EN . . .

      Monocoq s   ou     homOcoques   

       ?

 
 

 

.. l'ENtre-relationnalité GENérale ...TRiPTYQUE ...

 EN  auto-genèse

 

 
 

 

 ... l' ENfant-PAIR-ENts ...

 
 

 

 ..l'ÊTre-là...    ou     ..l'ENtre-PAIRE-là...

?

...voilà l'Â vraie question ...

 
 

 

Noël .... la fête païenne ancestrale Européenne ...au solstice ...

 
   

 

 
   

 

... ceS ...

 

 

" chantS-champS"

" morphogénéalogiques "

 

une

ouverture

à la nouvelle biologie de l'histoire

ENtre-individuelleS

 

 

 
 

 

 
     
    abécédaire  
 

 

 

..****.***

 

 
 

 

 « L’Afrique n’est pas le seul berceau de

l’Homme moderne »

 

 

 

 

 

CORRELATs

 

 

 ...laissez les enfants venir à moi,

ne les empêchez pas, *

car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblt..

 

 

*

 

   
<<<<<<<<<<<<<<<<<<< <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

 

 

 

 

 

 

5a1efd87087ef729f62b4b65698c7425.jpg

 

Le Logos divin, la révolte contre la dictature libérale, le mauvais sort du posthumanisme

 

.

.

.

https://www.mediapart.fr/studio/documentaires/culture-et-idees/cinema-du-reel-treize-films-voir-sur-mediapart

 

En association avec le festival documentaire Cinéma du réel, dont la 45e édition se tient du 24 mars au 2 avril à Paris, Mediapart vous propose de voir en intégralité treize films de la sélection « Première fenêtre » consacrée aux premières œuvres de jeunes auteurs.

Illustration 1
© Cinéma du réel

Cinéma du réel

18 mars 2023 à 12h30

 

 

.

.

.

.

 

 

 

 

 

 

 du cENtre

"aimons l'Âvie et les humains"

 

 

 

Rémi Brague

 

ce 16 MARS 2023

après J.C.....et NON  avant l’ère commune .....

 

 

 

 

«Aucune civilisation n’a jamais apporté, comme un livreur de pizza, quoi que ce soit à une autre civilisation»

Rémi Braque

 

 

 

 

 

ce 16 MARS 2023

après J.C.....et NON  avant l’ère commune .....

 

 

 

 

 

 

 

Pires que les MECs
: la dangerosité des féministes au pouvoir

 

 ACLU s'est opposée aux projets de loi anti-TikTok

au nom de la liberté d'expression


 

 

 

 

ce 15 MARS 2023

après J.C.....et NON  avant l’ère commune .....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

ce 14 MARS 2023

après J.C.....et NON  avant l’ère commune .....

 

 

 

 

 

ARCHIVEs des DERs

 

 

 

 

https://www.lefigaro.fr/sciences/faire-l-amour-et-avoir-un-rapport-sexuel-est-ce-vraiment-la-meme-chose-20230317

 

 
 

SEXOLOGIE - Le Dr Catherine Solano détaille les différences que l'on peut établir entre les deux et nous met en garde sur certaines situations.

Le Dr Catherine Solano est médecin sexologue. Formée à l'éthique de la santé, elle consulte en urologie à l'hôpital Cochin à Paris. Elle est cofondatrice de Doctical, une plateforme de télésanté qui soutient dans leur santé intime les personnes touchées par un cancer. Elle est auteur de nombreux ouvrages, dont Le grand livre de la puberté (éditions Robert Laffont).

 

En matière sexuelle comme ailleurs, les mots ont un sens. Selon les termes utilisés, le message n’est pas le même. Ainsi, «faire l’amour » ou « avoir un rapport sexuel », ce n'est pas exactement la même chose. Mais quelle est la différence exactement ?

Faire l’amour peut signifier plusieurs choses. Cela peut avoir comme sens de «concrétiser l’amour». Quand on éprouve un sentiment d’amour, on a généralement envie de l’exprimer de manière concrète, afin que ce sentiment ne reste pas dans la tête ou dans le cœur, donc en quelque sorte invisible. Ce sentiment est une force qui a envie de sortir de nous. Faire l’amour met en évidence ce sentiment, en permettant de l’incarner.

Mais cela peut aussi vouloir dire «fabriquer de l’amour». Quand on vit un rapprochement sexuel, les caresses, le contact peau à peau et encore plus l’orgasme déclenchent une sécrétion d’ocytocine que l’on nomme parfois l’hormone de l’amour. Cette hormone stimule l’attachement entre deux partenaires. C’est pourquoi faire l’amour régulièrement «crée» littéralement de l’amour. Les personnes qui ont des relations régulières avec un ami (ce qu'on appelle familièrement un «sex friend»), et pensent pouvoir arriver à ne pas s’attacher sont dans l’erreur. Elles finissent toujours par s’attacher, parce que leurs hormones travaillent pour cela.

Faire l'amour crée toujours de l'attachement

Je me souviens d’un couple qui s’était formé pour des raisons de proximité. Ils étaient colocataires et de fil en aiguille, avaient fini par avoir des relations sexuelles régulières. Ils ne se plaisaient pas tant que cela physiquement et ne se sentaient pas en connexion sur le plan des caractères. Mais quand ils ont finalement voulu se séparer, cela s’est révélé extrêmement douloureux pour tous les deux. En faisant l’amour régulièrement, ils avaient créé un fort attachement. Il ne faut donc jamais sous-estimer le pouvoir de la sexualité sur les sentiments.

Faire l’amour, c’est encore entretenir l’amour. Dans un couple qui dure, le sentiment amoureux est fluctuant. Ce n’est jamais un long fleuve tranquille. On s’aime à la folie, et par moments, on s’aime tranquillement, doucement, parfois, puis on s’éloigne un peu, on se retrouve, on se sent à nouveau très amoureux. Et puis, il faut savoir (et on ne le sait pas suffisamment) qu’il arrive forcément, pour un temps quand un couple dure… que l'on ne s’aime plus. Et pourtant, on reste ensemble, parce que, dans notre sagesse, on sait que ces moments de désamour sont inévitables. Et que l’amour revient.

Dans ces moments où le sentiment amoureux est évaporé, continuer à faire l’amour est essentiel, cela permet de rester proches physiquement, de se donner du plaisir mutuellement, d’alimenter l’attachement, de continuer à tisser le lien et d’agir comme on le ferait pour une plante qui a soif : on l’arrose. En faisant l’amour, on nourrit à nouveau l’amour qui va refleurir. Bien sûr, la sexualité n’est pas la seule manière de réactiver l’amour : les attentions à l'autre, les paroles valorisantes, les pensées positives volontaires envers l’autre, les moments de plaisir partagés quels qu’ils soient, les projets faits ensemble, beaucoup d’autres éléments peuvent alimenter l’amour.

Attirance, respect et plaisir partagé

«Avoir un rapport sexuel» n'est pas tout à fait équivalent. Une rencontre sexuelle n’implique pas forcément de l’amour. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de positif à en retirer. Même sans amour, il peut rester de l’attirance, du respect et de l’attention, ainsi que du plaisir partagé. Cela peut être une belle rencontre. Je me souviens d’un cas étonnant rapporté par un collègue. Un de ses patients qui n’avait jamais eu de relation sexuelle a passé une annonce, et une femme a accepté, car elle non plus n’avait jamais eu de relation sexuelle. Ils se sont entraidés et sont devenus amis sans jamais s’être sentis amoureux. Et ils sont restés très reconnaissants l’un envers l’autre.

Certains adolescents choisissent ainsi leur premier partenaire non par amour ou attirance, mais pour la confiance qu’ils éprouvent pour cette personne. Cela peut sembler dommage, mais cette première fois peut être vécue comme une expérience positive.

Inversement, un rapport sexuel peut être très négatif, un geste entièrement égoïste, où l’on considère l’autre uniquement comme un objet destiné à vous procurer du plaisir, un objet parfois même méprisable. Et dans ce cas, cette relation, même brève, peut devenir destructrice pour l’un des deux partenaires qui se sent utilisé. Cela peut aller loin. J'ai entendu une patiente me confier se sentir «comme une prostituée gratuite » sur l'application de rencontre Tinder.

La complexité du couple

Mais dans la vie, rien n’est jamais tout à fait tranché. L'amour et la sexualité sont complexes. Il arrive dans une même relation de couple de «faire l'amour», d'être dans le partage, ou d'avoir simplement un rapport sexuel très égoïste. Personne n’est parfait, et l’on ne se situe pas toujours émotionnellement dans un état amoureux.

Il est également naturel que l’autre soit aussi un « objet de désir », et pas seulement un sujet d’amour. Ainsi, pendant une relation sexuelle, chacun peut passer de la concentration sur son propre plaisir, moment où l’on ne pense guère à l’autre, à des moments d’attentions et de don généreux où l’on ne pense plus à soi, mais au plaisir de l’autre, des moments où l’on accepte de jouer à être un objet pour l’autre, à des moments d’amour tendres.

Un de mes patients l’a illustré d’une très jolie manière en me disant : «avant, quand j’avais un rapport sexuel, c’était mon sexe qui prenait du plaisir, maintenant, c’est mon sexe qui donne de l’amour. Ce n’est pas du tout la même chose. Et je ne veux jamais revenir en arrière.»

À VOIR AUSSI - Inde: ces jouets sexuels qui visent à vaincre le tabou de la sexualité

 
140 commentaires
 
  • le

    L’article de Catherine Solano -consœur dont je peux personnellement témoigner de la qualité- á au moins le mérite d’exprimer du bon sens dans un monde en proie au vent se folie sociétale que nous subissons. Merci Catherine.

  • le

    Manger et bouffer. La même différence.

  • le

Le sujet préféré de Catherine Solano, mais son texte est trop long. Qu'elle nous l'explique plutôt en BD !

 

 

CORRELATs

 

 

 

 

 

 

 

 

.

.

.

.

 

.

 

 

 

https://www.voltairenet.org/article218977.html

 

Le Moyen-Orient s’affranchit de l’Occident

La réconciliation entre l’Arabie saoudite, leader du monde musulman sunnite, et l’Iran, leader du monde musulman chiite, rend enfin possible une ère de paix au Moyen-Orient. Elle a été rendue possible par la Russie, alliée des deux frères ennemis, et négociée d’abord en Iraq et à Oman avant d’être conclue par la Chine, allié millénaire de l’Iran, agissant pourtant en toute impartialité. Cet accord clôt onze années de guerres et d’influence occidentale.

 

Ouverture de la cérémonie de signature à Beijing. De gauche à droite : le conseiller de Sécurité nationale saoudien, Musaad bin Mohammed Al Aiban ; le directeur du Bureau central des Affaires étrangères chinois, Wang Yi ; le secrétaire du Conseil
 

C’est un événement capital dont on ne perçoit pas l’importance hors du Moyen-Orient : l’Arabie saoudite et l’Iran se sont réconciliés… en Chine. Trois signatures au bas d’un document rebattent toutes les cartes de cette région.

Depuis le XIX° siècle, le Monde arabe a d’abord été dominé par le Royaume-Uni et la France sur les ruines de l’empire ottoman, puis par les États-Unis. Ces puissances ont à la fois apporté de la liberté et de l’oppression. Le Royaume-Uni a excellé en divisant les acteurs de la région et en les manipulant les uns contre les autres de manière à exploiter les richesses de la région en s’impliquant militairement le moins possible. La France s’est partagée entre colonisateurs de la pire espèce et décolonisateurs éclairés. Les États-Unis ont toujours eu une vision impériale de la région, à l’exception de quelques années à la fin de la Seconde Guerre mondiale où ils soutinrent les nationalistes.

Cette période vient de s’achever avec l’arrivée de la Chine. Comme toujours, celle-ci a très longtemps observé et lentement agi, avec une persévérance sans faille.

Ces accords ont été précédés par de longues négociations menées d’abord en Iraq, puis à Oman. L’Iraq a une population musulmane pour un tiers sunnite et deux tiers chiite. Durant la guerre contre l’Iran, les chiites iraquiens se battirent sans état d’âme contre les chiites iraniens. Aujourd’hui, pour montrer à ses compatriotes sunnites qu’il n’est pas inféodé à l’Iran, le leader chiite Muqtada al-Sadr a dû se rendre à Riyad. L’Iraq, plus que tout autre, a besoin de cette paix pour survivre. Oman par contre n’est ni à proprement parler chiite, ni sunnite. Le sultanat se réclame d’un troisième courant, l’ibadisme. Il peut donc légitimement revendiquer une position de médiateur entre sunnites et chiites.

Lors de son voyage à Riyad, en décembre 2022, le président chinois, Xi Jinping, n’avait pas cherché à flatter ses interlocuteurs pour obtenir d’eux des tarifs pétroliers préférentiels. Au contraire, il avait gentiment mis les pieds dans le plat : tant que la région était le théâtre d’affrontements incessants, il ne serait pas possible d’y construire les routes de la soie et d’y développer le commerce. Il n’avait pas cherché non plus à défendre les intérêts mal compris de ses alliés iraniens. Alors que ceux-ci revendiquent des îlots du Golfe arabo-persique et du détroit d’Ormuz, la Petite et Grande Tunb, ainsi qu’Abu Moussa, le président Xi inscrivit son soutien aux Émirats arabes unis dans le communiqué conjoint qu’il signa avec le Conseil de coopération golfe [1]. C’est cette autorité qui lui a permis d’assurer qu’il veillerait à ce que jamais l’Iran ne se dote de la Bombe atomique. Les Chinois sont les alliés de l’Iran depuis des millénaires. Des statues chinoises sont visibles dans la cité antique de Persépolis et sur l’ancienne route de la soie, on ne parlait pas le mandarin, mais le farsi (persan). Beijing, qui a participé aux négociations 4+1 sur le nucléaire iranien, sait avec certitude que les accusations occidentales sur les ambitions iraniennes sont fausses.

Chacun, à ce moment-là, a pu constater que Beijing ne se positionnait pas selon ses intérêts ou ceux de ses alliés, mais selon ses principes. La Chine est apparue comme un partenaire fiable, ou tout au moins comme plus fiable que les Occidentaux.

Il y a un certain panache pour la Chine à réconcilier les musulmans entre eux, alors que les Occidentaux l’accusent de martyriser sa minorité musulmane du Xinjiang, allant jusqu’à prétendre qu’elle emprisonne 1,5 million d’Ouïghours. Pourtant, comme le rappelait la semaine dernière le président Xi devant son Parlement, 150 millions de touristes ont pu circuler librement dans le pays et constater que l’islam y est une religion comme les autres et qu’il n’y a pas d’infrastructures permettant d’emprisonner autant de monde.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis signèrent le Pacte de l’USS Quincy avec le roi Ibn Séoud, le fondateur de l’État qui porte son nom, l’Arabie saoudite. Ce document, dont le texte exact n’a jamais été publié, garantissait à Washington de recevoir du pétrole saoudien pour ses armées (pas pour son économie civile) en échange de son engagement à protéger la dynastie des Séoud. Il a été reconduit, en 2005, par le président George W. Bush.

Par la suite, les Occidentaux, suivant le président états-unien Jimmy Carter, considérèrent que l’accès au pétrole du Moyen-Orient était une question relevant non pas de la souveraineté des États producteurs, mais de leur « Sécurité nationale » [2]. Ce qui impliquait que les arabes et les perses devaient se soumettre à une présence militaire étrangère. Pour ce faire, Washington a instauré en 1983 un commandement régional, le CentCom, et ouvert quantité de bases militaires sur place. Le « vice-roi » régional, selon l’expression en vigueur au Pentagone, pouvait détruire tout État qui refuserait de lui vendre ses hydrocarbures. Au demeurant, les arabes et les perses ne s’y opposèrent pas, les États-Unis payant mieux que les Britanniques et les Français.

Le général Michael Kurilla, commandant du Central Command (CentCom), dit le « vice-roi » du Moyen-Orient élargi. Il a personnellement participé à l’invasion états-unienne de l’Iraq, de l’Afghanistan et de la Syrie. Depuis la Floride, il dirige, à plus de 10 000 kilomètres de son tranquille bureau, des dizaines de milliers de soldats de l’Égypte au Kirgizistan qui tuent pour le maintien de l’« Empire américain ».

Cette domination signifia, dès le départ, le malheur des populations. Washington, déçu par l’obstination anti-impérialiste de l’ayatollah Rouhollah Khomeini qu’il avait aidé à renverser le shah Reza Pahlevi, poussa un de ses agents, le président Saddam Hussein, à lancer une guerre contre l’Iran. Durant huit ans (1980-88), les Occidentaux, soutenant les deux camps en même temps, les saignèrent d’un million de vies.

En 1987, de violents affrontements opposent des pèlerins iraniens à la police saoudienne à La Mecque. L’Iran rompt une première fois ses relations diplomatiques, jusqu’en 1991.

Il ne s’agissait pas à l’époque, pour Washington, d’opposer les sunnites aux chiites, mais les arabes aux perses. Une fois l’URSS disparue, le Pentagone organisa la guerre de Bosnie-Herzégovine (1992-95), un État musulmans européen. Il s’agissait pour les stratèges US de tester la possibilité de partitionner un pays (la Yougoslavie) et de mobiliser leurs alliés contre les populations de culture russe (les Serbes, les Monténégrins et les Macédoniens). Ils confièrent l’organisation des troupes musulmanes à un autre de leurs agents, Oussama Ben Laden, qui devint conseiller militaire du président Alija Izetbegović. Il coordonna sur le champ de bataille les forces de projections saoudiennes et les Gardiens de la Révolution iraniens [3].

Les hommes qui font l’histoire sont rarement motivés par des pinailleries théologiques. Ils défendent ce qu’ils pensent être les intérêts de leur peuple. Le fait que, durant trois ans, les forces armées saoudiennes et iraniennes se bâtirent, non pas l’une contre l’autre, mais côte à côte, n’empêche pas que leurs théologiens se sont toujours invectivés. Il faut distinguer la politique du rôle des clercs. Je ne dis pas des religions, mais des clercs, et ne pas les surestimer.

En 2011, lorsque le Foreign Office lance l’opération Printemps arabe sur le modèle de la « Grande Révolte arabe » de 1916-1918 (celle de Lawrence d’Arabie), il s’agit pour Londres de renverser les gouvernements sur lesquels il n’exerce pas d’influence, mais les peuples tentent de vraiment s’affranchir et les émeutes se répandent partout. Parmi les révolutionnaires, plusieurs prennent exemple sur l’imam Khomeini. Une révolution éclate à Bahreïn où le peuple, majoritairement chiite, tente de renverser la famille régnante, sunnite. Prenant peur, l’Arabie saoudite envoie ses chars et mate la rébellion. L’Iran soutient les révolutionnaires chiites face aux chars saoudiens. C’est à ce moment-là, et pas avant pour ce qui est de l’histoire récente, que le Proche-Orient se scinde entre sunnites et chiites.

Cette division ne fera que s’approfondir durant toute la guerre de Syrie. Les Occidentaux soutiennent la Confrérie des Frères musulmans, le Pentagone tentant de tout détruire et de répandre un chaos général (doctrine Rumsfeld/Cebrowski), tandis que l’Axe de la Résistance (autour de l’Iran) lui résiste.

Cependant deux choses clochent :
 D’une part l’alliance entre la Syrie et l’Iran n’a aucun rapport avec les événements. Elle date de l’époque où le Shah d’Iran se concevait comme le gendarme de la région. Les États-Unis lui demandèrent de s’allier avec la Syrie (qui n’était pas encore bassiste) pour faire contrepoids à Israël.
 D’autre part, à partir de 2015, alors que la Syrie commençait à faiblir et que l’Iran n’avait plus beaucoup de moyens pour lui venir en aide, la Russie est intervenue militairement pour soutenir la République arabe syrienne contre les jihadistes.

À la différence de Washington, Moscou a construit une base militaire en Syrie à la demande de la République arabe syrienne et pour la sauver. Ses soldats ont vaincu les jihadistes d’Al-Qaïda et de Daesh qui étaient armés par le Pentagone et coordonnés depuis le LandCom de l’Otan à Izmir (Turquie).

Les évènements s’accélèrent. Une nouvelle bousculade survient, en 2015, durant le pèlerinage de La Mecque, tuant entre autres des Iraniens sans que la police saoudienne intervienne. Au Yémen, l’Iran soutient les Partisans de Dieu (Ansarallah) contre les Saoudiens qui tentent de contrôler le pays avec Israël pour exploiter ses richesses pétrolières [4]. Finalement, en 2016, Riyad exécute le leader de son opposition interne, le cheikh chiite Nimr al-Nimr, en même temps que des jihadistes [5]. L’Iran réagit à cette provocation et met fin à ses relations diplomatiques avec l’Arabie saoudite.

Depuis 7 ans, le Moyen-Orient est paralysé. Aucun conflit ne peut évoluer car il oppose toujours les deux faces de l’islam. C’est très exactement ce que les Occidentaux voulaient et qu’Israël a entretenu. Il n’est donc pas étonnant que les seules personnalités qui se soient indignées de la paix saoudo-iranienne soient des Israéliens.

L’accord qui vient d’être signé a été négocié par la Chine sur la base de la non-ingérence dans les affaires intérieures. Les Iraniens auraient pu appréhender que les chiites saoudiens en fassent les frais, comme il y a six ans cheikh Nimr al-Nimr. Mais Téhéran a compris que les temps ont changé. Riyad respectera sa minorité chiite, parce qu’il a lui aussi intérêt à la paix. Ce qui n’empêche pas que les préjugés discriminatoires des sunnites saoudiens resteront longtemps ancrés dans leurs comportements.

Les relations internationales que Beijing et Moscou promeuvent sont fondées sur le respect mutuel et non plus sur l’affrontement. À la division et aux guerres occidentales, ils opposent les échanges, le commerce et la collaboration.

 
 

 

 

 

à ma conaissance

le premier livre en france

 

*...EN ... AutÔPoïèse  ...EN... *

 

 

Texte fondamental pour l'homocoques

 

..... à lire impéra  *  tivement .....

 

la conscience que vous aurez de votre conscience s'en trouvera définitivement transformée ...

et vous mènera sur la voie ...de la vérité ... de la vie

 

... Dieu ne se * repose pas ....

.

.

.

.

 

 

 

« Vous avez des yeux et vous ne voyez pas ?

Vous avez des oreilles et vous n’entendez pas ! »

 

 

« Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle,

nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine. »

  Pierre Teilhard de Chardin

 

 

 

 

 

 

EUREKA1   EUREKA2    EUREKA3 EUREKA4
 EUREKA5 EUREKA6 EUREKA7

 

"À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un." (Gn 2, 24)*

 Prendre au sérieux l'Apocalypse
    ....la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

.

lorsque l'enfant parait
l’orage cérébral de l’adolescence n’est pas un mythe ... 

https://homocoques.fr/index.php/8-articles/2328-https-cgermainpatrick-blogspot-com-2014-02-definition-de-lamour-des-3-termes-grec-html-page-1-sur-6-la-question-de-l-amour-eros-philia-agape

 

le péché social d'égoïsme et d'obstination

.... prophétise à l'esprit,

 

 

SILENCE

SORS de CET homme

 

 

 

prophétise *,

  <<<<<<<<<< <<<<<<<<<<<

EUREKA8

 

 

 

 

<<<<<<<<<<< <<<<<<<<<<<  

 

 

 

.

.

.

.

 

https://www.liberation.fr/societe/moi-jeune-les-reseaux-sociaux-cest-plus-quune-passion-cest-ma-vie-20230315_TIHESAULANC4FOT2YP33VW5VHY/

 

par ZEP Zone d'expression prioritaire

publié le 15 mars 2023
 

 

Hypersexualisation, confiance en soi, addiction…
Cinq jeunes filles ont raconté leur rapport à Instagram, TikTok ou Snapchat à la Zone d’expression prioritaire.

 

par ZEP Zone d'expression prioritaire

publié le 15 mars 2023 à 17h31
 

En publiant ces témoignages, Libération poursuit son aventure éditoriale avec la Zone d’expression prioritaire, média participatif qui donne à entendre la parole des jeunes dans toute leur diversité et sur tous les sujets qui les concernent. Ces récits, à découvrir aussi sur Zep. media, dressent un panorama inédit des jeunes en France. Retrouvez les précédentes publications.

 

«Mes parents ne veulent plus que j’y sois par peur que je me refasse avoir»

Anaïs, 16 ans, lycéenne, Grande-Synthe (Nord)

 

«Pour moi, les réseaux sociaux sont importants, si ce n’est vital ! Je passe des heures sur Instagram, je scrolle et scrolle, encore et encore. Dans les commentaires, on me dit que j’ai un beau corps et ça me fait très plaisir de me sentir aimée par des gens.

«Avant que je n’utilise les réseaux, je ne m’acceptais pas car je me sentais “grosse”. Je me répétais que jamais je ne pourrais plaire, que je n’aurais jamais d’amoureux. Mes soi-disant amies me rabaissaient, elles me disaient que jamais je n’aurais de copains, que je n’aurais même pas dix abonnés. Donc je me suis lancé un défi : avoir plus de dix abonnés.

«J’ai créé mon compte, j’ai posté une photo de moi, de ma tête plus précisément. Mes abonnés m’ont complimentée, ont liké et commenté. J’étais contente. J’ai appris à avoir confiance en moi grâce aux commentaires qu’on laissait sur mes publications du genre : “T’es magnifique” ; “T’es belle” ; “Ton corps est incroyable.” Depuis, je ne quitte plus les réseaux. J’y suis tout le temps. C’est plus qu’une passion : c’est ma vie.

«Un jour, un mec de mon collège m’a demandé des photos de moi dénudée. J’ai immédiatement refusé. Il m’a menacée de me bloquer si je ne le faisais pas. Je ne voulais pas le perdre, alors je lui ai dit “OK”. Je lui ai envoyé des photos intimes sur Snapchat. Alors que les photos étaient censées être éphémères, il les a capturées et les a partagées à tout le monde. J’étais tellement mal. Le lendemain, je ne suis pas allée en cours par peur des critiques. J’en ai parlé à mes parents, je leur ai raconté toute l’histoire. Je me suis mutilée. Quand mon père a vu les traces, il a appelé une psy. En parler à cette personne m’a fait énormément de bien.

«Avec le temps, ma peine s’est atténuée, mais j’ai ressenti un manque de plus en plus fort des réseaux sociaux, que j’avais délaissés à cause de cette histoire. J’y suis retournée trois semaines après parce que ça me manquait de parler avec des gens et de liker les photos de mes abonnés. Mais j’avais peur que mes parents captent que j’avais réinstallé les applis. Ils ne veulent plus que j’y sois par peur que je me refasse avoir.

«Là, j’ai encore Instagram et Snapchat. Avant de rentrer chez moi, je prends bien soin de désinstaller toutes les applis que je réinstalle dès que je sors. Mon père vérifie mon téléphone, je n’aime pas mentir à mes parents, mais c’est plus fort que moi, c’est comme une drogue. Je peux me lever en plein milieu de la nuit pour vérifier si je n’ai pas de nouveaux commentaires sous mes publications. Je suis carrément obsédée par les réseaux sociaux. Et je ne suis pas la seule.»

«On devrait être libre et se sentir en sécurité de pouvoir poster ce que l’on veut»

Nélia, 15 ans, lycéenne, Gravelines (Nord)

«Ma mère m’a toujours dit de faire attention à tout ce que je postais sur les réseaux. Plus jeune, je me disais que ce n’étaient que des espaces de loisirs. Des endroits où on s’amusait, sans personne avec des mauvaises intentions. Ce n’est qu’aujourd’hui, maintenant que j’ai 15 ans, que je comprends tout le sens des mots de ma mère.

«Cela fait deux ans que je me montre sur les réseaux sociaux, en particulier Instagram et Snapchat. J’aime beaucoup partager des moments intéressants de ma vie ou partager des photos prises avec mes amis. Il m’arrive aussi de poster des photos de moi, seule, sur lesquelles je porte plein de tenues différentes : robe, crop top, etc.

«Au fur et à mesure des années, j’ai eu de plus en plus confiance en moi. Et ça m’a poussée à me montrer. C’est à partir de là que j’ai commencé à recevoir sous mes stories des commentaires de garçons, parfois majeurs, du style : “T’es bonne” ; “Tu me donnes chaud” ; “Tu me fais de l’effet.” Pourtant, il n’y avait rien de provocant dans mes stories. C’étaient juste des moments entre amis. Sur les photos, on voyait à peine mes formes.

«La première fois que j’ai reçu ce genre de remarques, j’ai été choquée. C’était comme une claque et je ne savais pas comment réagir. Je me suis sentie mal. Mais je n’ai jamais osé en parler avec ma famille. Parce que j’avais peur que ma mère me demande de désinstaller les applications. Ou qu’elle me traite d’inconsciente, même si, au fond, je sais qu’elle me soutiendra.

«Que ce soit les commentaires sexistes ou les demandes de nudes, je trouve ça très méprisant. On devrait être libre et se sentir en sécurité de pouvoir poster ce que l’on veut, qu’on soit une fille ou un garçon. Cela me fait penser à ce qu’il se passe dans la vraie vie. Par exemple, quand ma mère me voit sortir seule, un peu maquillée ou avec une tenue “osée”. Elle me dit : “Fais attention, on ne sait pas sur qui on peut tomber.”»

«J’ai envie de devenir influenceuse»

Charlotte, 18 ans, en formation, Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis)

«J’ai 6 000 filles qui me suivent sur Snap, 2 000 personnes sur Insta et 4 000 sur TikTok. J’ai aussi des garçons… Mais je ne les compte pas, eux, car mon contenu n’est que pour les filles. J’ai envie de devenir influenceuse. Depuis petite, je fais des vidéos sur les réseaux, je suis à l’aise dans ce domaine, ça me ressemble. J’aime partager mon quotidien avec celles qui me suivent, donner des bons plans, des bons restaurants, des bons lieux, des bons produits. Make-up, masques, hôtels, spas…

«J’ai commencé sur Snap où je proposais mon contenu. Au fur et à mesure, j’ai eu beaucoup de visibilité. Je suis à l’aise devant la caméra. Déjà petite, vers 10 ans, j’avais une tablette. Je montrais mes vêtements devant la caméra et je parlais comme si j’avais des gens qui me regardaient. Ça s’est fait tout seul. J’étais bavarde.

«J’aime beaucoup l’intérêt qu’on me porte sur les réseaux : je reçois des messages de remerciements chaque jour, je redonne confiance à beaucoup de filles. Par exemple : “Ton haut vient d’où ? Tu es trop belle, tu me redonnes confiance en moi, partage-nous des conseils…” J’ai vraiment l’impression d’avoir une réelle communauté autour de moi. J’en ai déjà rencontré en vrai, dans des centres commerciaux. On me demande : “C’est toi qui fais des stories ?”

«Snapper tous les jours, c’est un vrai travail. Mais pour beaucoup, c’est pris à la légère. Ce n’est pas si facile qu’ils le croient. Quand tu deviens connue, tu fais des shootings, tu as des rendez-vous, tu peux faire d’autres projets, il y a plein de voies qui s’ouvrent. J’espère que tout ça va m’arriver.»

«Mes complexes sont nés lorsque j’ai commencé à utiliser les réseaux»

Tessa, 15 ans, lycéenne, Toulouse (Haute-Garonne)

«Mes premiers complexes sont nés en sixième, lorsque j’ai commencé à utiliser les réseaux sociaux. Il n’y avait pas un seul jour où je ne me regardais pas dans le miroir en me disant que ce n’était pas juste que toutes ces filles sur Instagram aient une taille fine, des lèvres pulpeuses, une peau parfaite ou un nez parfaitement droit. Moi, j’étais tout l’inverse. Je détestais tellement mon physique que je finissais tous les soirs dans mon lit à pleurer et à me détester.

«A force de traîner sur Insta, j’ai développé un complexe du nez. Je le trouvais moche, bossu et pointu. Je voulais à tout prix faire une rhinoplastie à mes 18 ans. J’ai commencé à m’intéresser à Photoshop, et je me suis entraînée à modifier des parties de mon corps. Par-dessus tout, mon nez. Je le photoshopais sur absolument toutes les photos où on me voyait de profil… C’était devenu un rituel. Ça a duré un mois, un an… et à l’heure actuelle, ça fait cinq ans.

«Cinq ans que je continue de complexer. Cette année, j’ai commencé à parler à mes parents du fait que je voudrais faire de la chirurgie. Ils trouvent ça dommage que je détruise mon nez. Selon eux, il est beau et tout à fait normal, mais je pense qu’on n’a pas le même point de vue.

«Il y a certains influenceurs bienveillants et honnêtes que l’on retrouve avec le hashtag #nofilter, ce qui signifie qu’aucun filtre n’a été ajouté sur la photo. Je trouve ça sympa de leur part de montrer leurs imperfections et la réalité. Ils rassurent les jeunes, en montrant que tout n’est pas rose ni parfait dans la vie. Mon nez ne rentre pas dans les normes de beauté, mais je sais qu’un jour ou l’autre je l’aimerai sans chirurgie, sans filtre, sans Photoshop, sans aucune modification : juste au naturel, tel qu’il est.»

«Au fur à mesure que je scrollais, je me comparais»

Flore, 16 ans, lycéenne, Carvin (Pas-de-Calais)

«Ça fait bientôt huit mois que je ne suis plus trop sur les réseaux sociaux, et je n’en suis pas morte. Ça ne me manque pas de voir ces vidéos, de 30 secondes à 3 minutes, accompagnées par la dernière musique à la mode. “Oh, une personne qui danse !” ; “Oh, une personne qui joue avec son chien !” Honnêtement, qu’est-ce que je rate ?

«Je me suis inscrite sur TikTok et Insta pour faire comme tout le monde, pour plaire à tout le monde. J’ai suivi le troupeau. TikTok, pour moi, c’est l’application du mal-être et de la perte de temps. Quand on lance une vidéo, on juge l’esthétique avant de s’intéresser au fond. L’esthétique est basée sur des critères de beauté, des critères superficiels, accentués par de nombreux commentaires, souvent ignobles, et majoritairement anonymes.

«Au collège, le regard des autres était une obsession pour moi. “A quoi est-ce que je ressemble ?” ; “Est-ce que je suis bien coiffée ?” ; “Est-ce qu’on me regarde ?” Voilà des questions que j’ai pu souvent me poser. Sur TikTok et sur Instagram, je scrollais, scrollais, et scrollais encore. Je suivais des filles qui racontaient leur vie de rêve, avec des voyages aux Maldives, qui exposaient leur corps parfait en maillot de bain. Une vie bien différente de la mienne.

«Voir les photos de ces filles avait des effets sur moi. Moi qui suis petite, brune, un peu grosse. Au fur à mesure que je scrollais, je me comparais. Et je me trouvais de plus en plus de défauts : des rondeurs, de grosses joues, un nez pas parfait, etc. Au point que j’ai failli perdre toute estime de moi. Quand le confinement est arrivé, j’ai appris à m’écouter. Je me suis mise à passer plus de temps en famille, avec ma sœur et mes parents. Je me suis détachée de mon téléphone. Et j’ai coupé les ponts avec des relations néfastes, dans la vraie vie comme sur les réseaux.

«Malgré tout ce que je viens de dire, je reste persuadée que les réseaux sociaux peuvent être une ressource incroyable. Ils m’ont permis d’apprendre au quotidien, de m’informer, avec par exemple des vidéos de décryptage politique ou de développement personnel. Pendant le confinement, ils m’ont permis de garder le lien avec mes grands-parents et le reste de ma famille. Donc, les réseaux sociaux peuvent aussi transmettre de l’amour, du bonheur et être utiles. Tout dépend de l’utilisation que l’on en fait.»

 
 
.

.

.

.