EXEMPLEs

 

 

 

 

 

 1ier... le futur / avenir

 

 

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C’est à l’heure où une chose est sur le point de disparaître qu’elle se révèle à nous dans ses contours singuliers et sa présence irremplaçable. Le mot « apocalypse » le suggère, dans lequel on entend « désastre », et qui veut dire « dévoilement ». Dans notre époque critique où l’humain est trois fois menacé d’extermination (technologique, écologique et théocratique), les lignes bougent, les ennemis d’hier deviennent alliés, les plus révolutionnaires éprouvent la nécessité de recourir à une certaine tradition…

C’est sur cette alliance de la tradition et de la modernité, de l’eschatologie* et de la culture, de la lucidité devant la mort et de l’éducation ouverte à la vie*, que porte ce recueil de textes et conférences.

 

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le texte "le futur et l'avenir  ... avant-garde de la tradition" en premier

 

 

  2ième ... la fléche (le carré) / le cercle

 

 

  3ième ... l'homme / la triade "fem-hom-ENfant "

 

  4ième ...la Paque juive (pessah') / les Paques cathol "

 

 Des rabbins et des fidèles se rassemblent pour la prière Cohanim durant la Pâque juive devant le mur des lamentations, le 22 avril 2019.

 

Lecture du Cantique des Cantiques

 
Les cinq rouleaux, attendant d’être lus (le Cantique des Cantiques est le premier en partant de droite).

La lecture du Cantique des Cantiques est universellement réalisée lors de Pessa'h mais les usages divergent entre communautés.

Cantique des Cantiques*

Selon des exégètes juifs, le Cantique est un poème exprimant l’amour de l’Éternel pour Israël, qui « y découvraient une esquisse allégorique de l’histoire d’Israël depuis l’exode hors d'Égypte jusqu’à l’arrivé du Messie. C’est en raison de ces prétendues allusions à l’exode que le Cantique est lu dans la synagogue au huitième jour de la fête du pain sans levain »2.

Selon une exégèse chrétienne, le texte est une allégorie de la relation d'amour qu'entretiennent le Christ et son Église (ou entre le Christ et l'âme humaine), relation qui est de nombreuses fois célébrée ou illustrée dans le Nouveau Testament, principalement dans les écrits de Paul, mais aussi dans certaines paraboles de Jésus lui-même selon les Évangiles. Cependant, cette interprétation allégorique est fragilisée par les images érotiques qui émaillent le texte. De plus, la relation d'amour entre Jésus et son Église n'est jamais décrite d'une telle manière : bien que, de manière assez surprenante, le terme grec utilisé par les Septante pour dire l'Amour dans le Cantique soit l'agapè, il apparaît que cet agapè est plus proche de l'éros platonicien que de l'amour chrétien traditionnel (paulinien). Enfin, quand bien même le Nouveau Testament rapproche l'image de la bien-aimée et du bien-aimé de celle du Christ et de l'Église, jamais les auteurs du Nouveau Testament ne prennent le Cantique des Cantiques comme modèle. A cet égard, l'exégète Xavier Léon-Dufour3 note toutefois que la quête aimante de Jésus par Marie de Magdala en Jean 20, 11-16 renvoie au Cantique des Cantiques 3,1-4. En Jean 20, 16, Marie dit à Jésus « Rabbouni », traduit par « maître » dans l'évangile mais qui est en réalité un diminutif de « Rabbi » (« mon maître »), ce qui pourrait constituer une nuance d'affection ou de familiarité.

 

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Ostara, déesse du printemps germanique – lutte contre les géants de la glace en hiver

La déesse du printemps Ostara symbolise l’éveil de la nature et est entourée de rayons de lumière. En tant que messagère du printemps, la déesse de l’aube doit faire face à la lutte contre les géants de la glace de l’hiver.

Vous vous êtes probablement déjà demandé plus souvent d’où venait le lapin de Pâques et pourquoi il n’apporte que des œufs de Pâques. Comme nous les connaissons et les aimons aujourd’hui, ces symboles de Pâques se sont développés directement à partir du culte païen de la déesse germanique Ostara à l’occasion de l’équinoxe du début du printemps. En tant que festival de printemps celtique original, Ostara est aujourd’hui hors de la conscience du peuple, bien que nos coutumes de Pâques ne diffèrent que très peu des rituels celtiques.