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Pour robert

..... plus que jamais l'homme et la femme sont les "ÊTres spirituelS" de base expérimantant l' "ENtre-vie-IN-finie"  dont ils sont les

 

"CO-crateurs" EN ce monde

 

le possible

... MARIAGE ...

..... d'AMOUR -comm-UNion ......

 

 

 

Pour robert

..... plus que jamais le lien inter-générationnel est un levier essentiel pour

« faire société humaine vivante ». *

.... une société  EN  homonisation ....

plagiat deThielhard de Chardin

 https://www.homocoques.com/Chantre75.JPG

 

 

Pour robert

.....En vérité, il faut entendre son raisonnement à l’envers. Pour lui, ce n’était pas le théâtre qui fait écho à la société et au monde, mais l’inverse.

 

 

Comme si tout faisait théâtre, comme si tout est théâtre: la politique, les médias, le sport, la médecine, la vie.

Chacun plus ou moins dans son rôle, avec des metteurs en scène changeant d’une saison à l’autre.

Ainsi cet alsacien acharné adore parler de religion et voila qu'en ce début de 2023 ... tENps de dévoile-mENt ...

 

 

...début de la troisième guerre mondiale vécue EN alsacien...

 

C'est la première fois que le maître de Pékin fait la leçon au maître de Moscou" .....Vladimir Poutine menace d'expulsion les Ukrainiens des régions annexées

 

 

 

.....et qui une poignée d'années avant de devoir rendre son dernier souffle s'exclame,

«l'amourtre-époux

 
 

 

....CO-CREAteurS"

 

 

Pour robert

 ...sous-estimation totale du "mystère vivant" 

 d'un dieu qui meurt et renaît,

"puissant" et "souffrant"

 ....de l’économie de l’amour divin....

 

... que l'on veuille ou non toute rEVOLUTION de l'humain devra passer par  l'ENtre- SEXE femme-homme ...mâle-femelle .... ENfants

  ... l' ENfant-PAIR-ENts ...

 

... la création d'une école paternelle ( et d'une école maternelle)  lui semble d'une urgence première ......

...permettant à éros aveugle de s'épanouir EN tiers inclus en l'agapé ...

.....l'agapé la joie de vivre EN la joie .... d

e COcréateurs d'époux chrétiens ................ dont Benoit XVI ... à découvrir une pensée qui, dans sa limpidité, cache une grande richesse 

 

 « Cette nouvelle anthropologie dynamique comprend l’existence humaine comme le mouvement du désir de voir Dieu »

plagiat Philippe Tesson

 

 

 

CORRELATs

Stendhal
De Stendhal / De l'amour

 

 

 

 

 

...avant de passer à table ...

>>>>>un espace d'apparence >>>>>

 

 

 

 l'Â femme      et    NON leS femmeS

 ...et NOUS prirent conscience qu’ "ILS & ELLES" étions nus ... 

 

 

 .....au service (plagiée) de cette citation de Pierre Teilhard de Chardin:

 

« nous ne sommes pas des ÊTreS humainS vivant une expérience spirituelle INDIVIduelle,

 

NOUS sommes des INDIVIdus spirituels vivant UNe

-ENtre- expérience humaine. »

 

 

 

 

... des clefs d'acccès à... 

espace d'apparence

Femme, famille, religion

 

 Voici donc, dans ce canevas, l’enchaînement des mots-clés. Je vous les rappelle : désir, désir de relation, histoire d’amour, risque, dépendance, liberté, respect de l’altérité, responsabilité.

 

"l'ENtre-fem-Âmour-hom-Âvie"

 

l'homonisation

par l'ENtre-experience de l'humain fem&hom

es

 

*

Le rêve exprime la relation qui existe à coup sûr entre tous les éléments de ses pensées

en unissant ses éléments EN UN seul TOUT ( hcqs: UNi-VERS *), tableaux ou suite d’événements ;

exactement comme le peintre qui réunit en une « Ecole d’Athènes » ou un « Parnasse »

tous les philosophes tous les poètes,

alors qu’ils ne se sont jamais trouvés ensemble dans ces conditions.

L’interprétation des rêves par Sigmund Freud *

 

 

 

 

 Christ Résurrection Pâques

  

 

"l'll be back"

 

..... .....

..... ENtre-vivant pour ses soeurs et frères.....

..... .....

..... construisant Un destin Comm-Un ..*..

..... ....

..... complétant « dans sa chair ce qui manque aux épreuves du Christ pour son Corps qui est l'Eglise » .....

 

 

...Toute crise de l'intelligence a pour fondement l'abandon de la recherche du vrai ( vi-à le couple d'époux h-f ..). Tant qu'elle est en recherche, l'âme est tournée vers la lumière. L'intelligence, parce que création de Dieu, est finalisée par la vérité. Le propre de l'intelligence humaine, c'est donc de rechercher la vérité

 coqs +

.Lorsqu'elle y renonce, elle tombe immédiatement sous l'emprise des ténèbres. La manière la plus habituelle de pratiquer un tel renoncement consiste à arrêter le mouvement de sa pensée aux êtres et aux choses qui peuplent le monde. L'intelligence qui ne cherche pas à aller au-delà de la matière, en posant la question du «pourquoi» de la création, est une intelligence qui a renoncé à la vérité. Or, renoncer même à une partie de la vérité, c'est renoncer à la vérité tout court!

  coques +

...La famille est le milieu vital et naturel de l'amour en ce monde. 'Une âme ne découvre pas d'abord l'amour dans !'Église ou dans la société; elle le découvre dans la famille.

..Nous avons été créés par amour, et pour l'amour.

 

 

 Le fait est qu'un jour ou l'autre,

un être humain qui entend en lui-même un peu de parole libre et qui trouve confirmation, dans l'écoute d'un autre,

de ce qui parle lui, cet être humain change le cours de son destin.......

 

 

 

..... ces ÊTreS pour robert l'alsacien sont ...

 

  Soljénitsyne

  Simone Weil / G.Thibon/ Marcel de Corte

  Chantal Delsol

  Hannah Arendt

  René Girard

  Alain Badiou

  Nicolas Grimaldi

  Alexis Carrel

  Aristote Descartes Korzybski

  Maurice Zundel  Spaemann

  Michel Henry

  Nietzsche

  Jung Freud Laborit

  Jean-Paul II

  Benoît XVI

  Autres Auteurs

  Chesterton .. Lévinas

 

  les  Evangiles

 

 

 

 "éros sans agapè est aveugle,

agapè sans éros est vide".....

 

 

 

 

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Il y parle de « combat métaphysique »......Il parlait en 2009 d’un peuple « porteur de Dieu », une idée qui remonte au moins au XIXe siècle et à Dostoïevski..... il a présenté la Russie comme « le pilier et le soutien de la vérité ».

 

 

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  • le bonheur d’amour. ......
    • en coq
    • en coques


Résumé du Livre : Les êtres humains normaux s’accouplent mille fois plus, au moins, qu’ils ne fabriquent d’enfants. Leur fonction érotique, c’est donc l’usage individuel – pour en jouir, sans nécessairement enfanter – des organes génitaux, des comportements et des attachements que l’espèce a mis au point pour sa perpétuation. La Nouvelle Fonction Erotique dresse un état exhaustif de toutes les connaissances acquises en un quart de siècle par la sexologie et l’éthologie, de notre biologie érotique – anatomie, physiologie, comportements. L’ouvrage prend également en compte les nouvelles pathologies de notre siècle et les modifications sociales et psychologiques qu’elles peuvent provoquer. L’ensemble fait reconnaitre la rassurante stabilité des fondements organiques, charnels, qui demeurent seuls capables de faire éclore, entre les hommes et les femmes, l’épanouissement sans équivalent dont ils sont friands : le bonheur d’amour. Le Docteur Gérard Zwang, chirurgien urologue, sexologue, auteur de La Fonction Erotique – un événement dans l’histoire de la sexologie -, est incontestablement le spécialiste français le plus réputé, le plus original et le plus percutant dans ce domaine. Homme de culture, musicien, il peut magistralement établir des liens entre la fonction érotique et tous les aspects de notre vie intellectuelle, sociale et amoureuse. (Résumé ajouté par hotel-du-livre).

LIVRE commnandé ce jour le 18.02.23

 

La femme est l'avenir de l'homme 

La femme est l'avenir de l'homme

Entre l'ancien et le nouveau Votre lutte à tous les niveaux De la nôtre est indivisible Dans les hommes qui font les lois Si les uns chantent par ma voix D'autres décrètent par la bible Le poète a toujours raison Qui détruit l'ancienne oraison L'image d'Eve et de la pomme Face aux vieilles malédictions Je déclare avec Aragon

La femme est l'avenir de l'homme

Pour accoucher sans la souffrance Pour le contrôle des naissances Il a fallu des millénaires Si nous sortons du moyen âge Vos siècles d'infini servage Pèsent encore lourd sur la terre Le poète a toujours raison Qui annonce la floraison D'autres amours en son royaume Remet à l'endroit la chanson Et déclare avec Aragon

La femme est l'avenir de l'homme

Il faudra réapprendre à vivre Ensemble écrire un nouveau livre Redécouvrir tous les possibles Chaque chose enfin partagée Tout dans le couple va changer D'une manière irréversible Le poète a toujours raison Qui voit plus haut que l'horizon Et le futur est son royaume Face aux autres générations Je déclare avec Aragon

La femme est l'avenir de l'homme

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....

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REPORTAGE - Symbole de l'érosion côtière et du changement climatique, l'immeuble Le Signal se rapproche inexorablement du rivage. Le chantier de démolition, qui a enfin débuté, devrait durer trois semaines.

Le Figaro Bordeaux

 

 

 

Elles sont souriantes toutes les trois, même si ce sont un peu leurs souvenirs qui vont disparaître sous les coups des pelleteuses. Ce vendredi, trois sœurs, Nicole, Colette et Annie, sont venues assister au début de la destruction de l'immeuble Le Signal, à Soulac-sur-Mer (Gironde). Le chantier commence près de dix ans après l'évacuation du lieu de tous ses habitants et devrait durer environ trois semaines.

Leur père avait acheté un appartement dans cette large bâtisse sur la dune en 1981. Depuis, elles y venaient tous les étés, «jusqu'à ce qu'on nous dise : prenez vos affaires et foutez le camp», raconte les trois sœurs, aujourd'hui âgées de 92, 81 et 79 ans. En 2014, après de nouvelles tempêtes qui ont rapproché dangereusement l'immeuble de l'océan, un arrêté de péril est pris : l'évacuation des occupants devient obligatoire. «Ils ont arraché les citernes de gaz, donc on n'a pas eu d'autre choix, on est parties, en pensant qu'on reviendrait, qu'une solution serait trouvée.» Mais le Signal n'allait plus jamais être habité, et un long processus administratif et judiciaire démarra.

Ce vendredi, deux ministres étaient présents dans cette station balnéaire de moins de 3000 habitants, rarement aussi animée en cette saison. Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, et Bérangère Couillard, secrétaire d'État chargée de l'Écologie et ancienne députée de la Gironde, ont tous les deux fait le déplacement, pour le démarrage de ce «chantier symbolique». Une visite officielle remarquée, tant cet immeuble en bord de mer est devenu, malgré lui, l'incarnation de la rapidité du changement climatique. «C'est un immeuble construit à 200 mètres du rivage», rappelle Christophe Béchu. Mais la plage est désormais à moins de dix mètres de cette imposante carcasse de béton.

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Après son évacuation, le Signal à l'abandon s'est retrouvé à la merci, non pas des flots, mais des pilleurs. Pendant des années, les propriétaires ont alors mené un véritable bras de fer avec l'État, pour pouvoir être indemnisés. Le Conseil d'État décide en 2018 que le fonds de prévention des risques naturels majeurs - dit fonds Barnier - ne peut pas être utilisé dans ce cas de figure. Mais avec le concours de parlementaires locaux, le dossier avance. L'ex-député de la Gironde, Benoît Simian, réussit à faire voter fin 2018 un amendement au projet de loi de finances pour indemniser les propriétaires.

«Deux préfets qui ont mouillé le maillot»

Présent ce vendredi, l'ancien élu se réjouit avec ironie de la présence des ministres à Soulac. «Je suis ravi qu'on ait deux membres du gouvernement, qui sont des convertis de dernière minute», sourit-il en rappelant que Bérangère Couillard était «la seule députée de Gironde qui n'avait pas cosigné cet amendement». Benoît Simian précise que l'indemnisation des habitants a été un parcours semé d'embûches, rendu possible grâce à «deux préfets qui ont mouillé le maillot» pour faire «respecter le vote du parlement» : Didier Lallement et Fabienne Buccio. Un soutien des représentants de l'État dont témoigne aussi Vincent Duprat, ancien propriétaire du Signal avec son épouse.

Mais la somme finalement perçue ne permettra pas aux anciens habitants de retrouver ce qu'ils ont perdu. «129.000 euros pour plus de 70m2 avec vue sur mer, si quelqu'un m'en trouve un autre, je le prends, mais pas les pieds dans l'eau», soupire, amère, Danièle Duprat, présente avec son mari, sa sœur et son beau-frère.

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A
Sur place ce vendredi, outre les habitants des alentours, le nouveau préfet de la Nouvelle-Aquitaine, Étienne Guyot, et le maire de la commune, Xavier Pintat, fils de Jean-François Pintat, ancien maire de Soulac, qui était en responsabilité lorsqu'il a été décidé de construire cet immeuble sur la dune, qui devait être le premier bâtiment d'un ensemble de treize barres dressées face à l'océan.

«Un soulagement pour le Médoc»

Incarnant la dimension transpartisane des enjeux de l'érosion côtière, deux parlementaires de la Gironde aux vues radicalement opposées ont fait le déplacement sur le chantier : Grégoire de Fournas, député Rassemblement national, et Monique de Marco, sénatrice écologiste. Cette dernière se dit encouragée par les propos tenus par Christophe Béchu depuis le début de la semaine.

«C'est la première fois que j'entends le ministre prendre conscience de l'emballement climatique», précise celle qui espère que «le gouvernement va comprendre qu'il y a des endroits où il va falloir ne pas construire de nouveaux EPR », l'élue rappelant notamment l'inondation de la centrale nucléaire girondine du Blayais en 1999.

Le député nationaliste évoque quant à lui «un symbole fort de l'érosion côtière et du périple judiciaire, administratif et politique entrepris ces dernières années», exprimant «un soulagement pour le Médoc de voir ce bâtiment démoli dans des conditions devenues acceptables pour tout le monde et notamment les propriétaires».

«On a réussi à trouver une solution», se félicite Christophe Béchu, après avoir symboliquement participé au premier coup de pelleteuse, arrachant un pan de la structure fantomatique de l'immeuble. «Ce qui se passe aujourd'hui témoigne de l'érosion du trait de côte, lequel s'accentue à cause du dérèglement climatique», explique le ministre. 975 communes sont concernées par l'érosion du trait de côte, détaille le membre du gouvernement, sur environ 20% des 20.000 kilomètres de littoral du pays. «L'érosion est plus forte en Gironde que dans le reste du pays», rappelle-t-il, évoquant la «nécessité d'avoir un plan national très puissant» à cet égard.

Pour faire face à cet enjeu majeur de lutte contre le dérèglement climatique et ses conséquences, la secrétaire d'État Bérangère Couillard a annoncé le lancement d'une concertation d'un an avec le Conseil national de la mer et des littoraux, présidé par la députée girondine Sophie Panonacle. Cet échange aura pour but d'évaluer les besoins et de recenser les projets mis en place pour lutter contre le recul du trait de côté. «La montée des eaux est inéluctable, donc forcément, il va falloir s'adapter», proclame la ministre.

En attendant que des mesures concrètes soient mises en place pour les autres habitations menacées par le recul du trait de côte sur le littoral français, le Signal, pionnier malgré lui, va donc bientôt disparaître de la dune. Après trois semaines de travaux, quinze jours seront nécessaires pour évacuer les gravats désamiantés, lesquels seront revalorisés pour d'autres travaux d'aménagement de la ville. Le milieu dunaire sera ensuite reconstitué et replanté, explique le maire de la commune. Un belvédère fera son apparition une fois la dune reformée. Près de cinquante ans après avoir été érigé, le Signal ne sera bientôt plus seulement un symbole, mais aussi un souvenir.

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Surmonter les épreuves (1/6). La séparation résulte souvent d’une volonté d’affirmation d’une nouvelle identité analyse la professeure de philosophie.

Publié le 17 août 2018

 

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https://www.lemonde.fr/series-d-ete-2018/article/2018/08/17/claire-marin-la-rupture-est-l-occasion-de-decouvrir-ce-dont-nous-sommes-capables_5343579_5325920.html

ans une rupture amoureuse, il reste un sentiment que les anciens amants partagent encore, celui de vivre une cassure intérieure, qui touche profondément à leur identité. Qu’elle soit décidée ou subie, la rupture interroge ce que nous sommes ou ce que nous croyions être.

D’une rupture, on peut avoir le sentiment qu’elle est une erreur, un terrible gâchis ou au contraire qu’elle est nécessaire. Même si on en souffre. On peut reconnaître qu’il se joue dans cette décision et les actes qui la concrétisent l’expression d’une vérité intérieure qui ne peut plus se taire.

La rupture s’impose lorsque la fidélité à soi, à ce soi qui nous définissait jusqu’alors, n’est plus tenable. Rester constant serait nier la puissance et la réalité d’une modification qui s’est opérée en nous.

La fidélité à soi – et à celui ou à celle qu’on aimait – est désormais impossible, parce qu’on a déjà été intérieurement rompu, rendu étranger à soi par un Autre. Un autre objet d’amour – une femme, un homme, un enfant, une œuvre –, une autre passion – gagner, réussir, séduire, créer – se sont immiscés entre les amants et ont produit un écart, une distance.

Une expérience nouvelle, heureuse ou tragique, a intimement ébranlé le sentiment de soi, a dévié les polarités de l’existence, remodelé les affects. Ce tremblement secret ne peut pas le rester. Ce bouleversement profond de notre définition était peut-être en cours depuis longtemps. La fêlure, le doute sur soi existaient déjà et cette altérité s’y est engouffrée, appelée par la faille.

L’ivresse d’une nouvelle vie

C’est dans cette perspective qu’on évoque souvent l’idée que la rupture nous révèle à nous-même. Elle serait alors l’expression d’une vérité intime, affirmation d’une nouvelle identité incompatible avec l’ancienne et avec les engagements pris.

L’intensité ressentie (« se sentir vivant ») serait le signe évident de l’authenticité, de la coïncidence avec soi. Mais peut-être l’ivresse d’une nouvelle vie n’est-elle pas liée au dévoilement de notre identité mais à son délaissement.

N’est-on pas parfois tenté de rompre pour être délivré de la fatigue d’être soi, de la pesanteur d’une modalité de l’existence dont on pressent confusément le caractère définitif ? La calligraphie dit bien la beauté de l’être délié, sa finesse et son élégance. Légèreté illusoire de celui qui rompt, porté par l’espoir d’une vie plus dense. N’est-ce pas pour échapper à une identité décevante et pourtant profondément mienne que je fuis l’ancien amour comme s’il était responsable de cet appauvrissement de mon être ?

Toute nouvelle vie ne serait finalement qu’une modulation de l’ancienne. Peut-on vraiment créer par la rupture amoureuse une existence radicalement neuve ?

C’est ce qu’évoque Michel Butor dans La Modification (Editions de Minuit, 1980). Le personnage principal envisage de quitter sa femme, Henriette, pour Cécile, sa maîtresse italienne. La rupture lui apparaît d’abord comme la possibilité d’une vie neuve, mais les allers-retours Paris-Rome deviennent l’espace d’un cheminement intérieur et la décision de rompre se renverse en son contraire : « Métamorphose obscure, changement d’éclairage, rotation des faits. » La ville de Rome et le fantasme d’une autre vie forment un agencement imaginaire dans lequel l’amante italienne n’est qu’un élément. La beauté fâne, dès qu’elle sort de cette configuration du désir. Que deviendra Cécile, installée dans le quotidien d’une vie parisienne ?

Toute nouvelle vie ne serait finalement qu’une modulation de l’ancienne. Peut-on vraiment créer par la rupture amoureuse une existence radicalement neuve ? De quoi, de qui, pouvons-nous réellement nous défaire ?

Deux êtres rompus

Plus profondément, plus tragiquement peut-être, certains rompent dans l’espoir de se fuir eux-mêmes. La rupture tient alors de la délivrance : n’être plus soi. Rompre est alors moins la quête d’une vérité intérieure qu’une tentation du vide, une jouissance de l’effacement ou de la négation de soi, une libération dans la disparition. Ce n’est plus l’ancien amant que je fuis, c’est moi-même. Son amour m’oblige, me lie, m’inscrit dans une réalité dont je veux m’extraire. Je me tourne alors vers des formes d’amour où je m’oublie, comme on plonge dans les eaux où l’on se noie.

Celui qui rompt est souvent tout aussi rompu que celui qu’il quitte.

Violence du désamour, profonde atteinte narcissique, blessure d’orgueil ; la rupture amoureuse est démolition en règle de l’ego

Mais ce qu’éprouve l’être délaissé nous livre aussi quelques vérités sur l’amour. S’il est rompu, c’est d’abord bien entendu sur le plan psychique. Violence du désamour, profonde atteinte narcissique, blessure d’orgueil ; la rupture amoureuse est démolition en règle de l’ego. « Ta silhouette s’est perdue comme un petit détail dans un paysage », écrit l’écrivaine allemande Lou Andreas-Salomé au poète Rilke dans une lettre de rupture. Qui resterait insensible à ces mots, prononcés ou écrits par l’être aimé ? Qu’y a-t-il de vrai dans les paroles de rupture ? Ariane, l’héroïne de Belle du Seigneur (Albert Cohen, Gallimard, 1983), est-elle la « femme qui rachète toutes les femmes » ou bien une pure « idiote » ?

Sentir couler l’acide à mesure que s’égrènent les phrases assassines. Cette violence symbolique produit un effet physique. La rupture est une expérience sensible, incarnée. Cœur affolé, palpitations, tremblements, vertige, nausée ; ce qui faisait ma contenance, mon assise, s’est brisé en moi. La rupture s’écrit sur mon visage, sur mon corps. Dos voûté, traits tirés, voix tremblante, silhouette amaigrie. Ou bien, visage bouffi, cheveux sales, vêtements froissés. C’est en fait tout mon être qui est froissé, définitivement marqué par la rupture qui nous écrase et nous abîme, comme le dit bien Hélène Gestern dans Un vertige (Arléa, 2017) : « Je me suis sentie comme une feuille de papier froissé. Qu’il parte, qu’il revienne, celui que j’aimais n’ôterait plus la marque qu’il venait d’imprimer. »

Etre rompu n’est pas seulement une expression métaphorique. La rupture fait de nous un être cassé ou tout au moins gauche, rendu maladroit ou déséquilibré par le manque de l’autre.

L’enveloppe protectrice arrachée

Car la rupture est expérience de l’arrachement. Arrachement de ce que l’on tenait pour nôtre, de ce que l’on avait littéralement incorporé à notre être. Ce n’est pas seulement que l’autre s’éloigne, emportant un peu de moi, c’est qu’il m’écorche, il m’ôte cette peau d’amour, cette enveloppe protectrice et rassurante de sa présence et de son attention, il me prive de ses regards séducteurs, fiers ou bienveillants.

Peau de mots, peau de regards, peau de caresses. L’être quitté est soudain nu, sans carapace, sans griffes, sans pelage, avec sa colère pour seule arme. Plus nu que l’animal le plus vulnérable.

Comment séparer des corps et des esprits qui se sont fondus l’un dans l’autre au point de ne plus savoir ce qui était à l’un, ce qui était à l’autre ?

On ira jusqu’à dire qu’il n’est pas seulement rendu fragile, mais qu’il est privé de lui-même par la rupture, privé de son être et de son corps, comme amputé. Comme s’il fallait que dans la rupture un sacrifice soit fait. Parfois, la personne que l’on quitte s’effondre. « Quand une nouvelle vie s’annonce, faut-il qu’une autre s’efface après qu’elles ont été si longtemps mêlées au point de devenir inséparables ? » se demande Jean-Bertrand Pontalis dans Marée basse, marée haute (Filio, 2014).

Comment séparer des corps et des esprits qui se sont fondus l’un dans l’autre au point de ne plus savoir ce qui était à l’un, ce qui était à l’autre ? « Dans le dialogue, dit Merleau-Ponty (Phénoménologie de la perception, Gallimard, 1976), je finis par ne plus reconnaître quelle était mon idée. Dans la complicité et la fréquentation quotidienne de l’amour, je finis par ne plus savoir ce qui est proprement mien, ce que j’ai adopté. On stigmatise l’habitude comme poison de l’amour, mais c’est aussi cette habitude d’être partagée qui fait la fluidité d’une chorégraphie amoureuse. L’autre était mien, comme fondu en moi. »

Torture de la mémoire amoureuse

Désormais, l’aimé se tient à part. Il affirme que nous pouvons être séparés, comme si dans ce « nous », il y avait eu deux parties distinctes, là où nous éprouvions une union, un mélange. Etre quitté, c’est alors être comme amputé d’une part vitale de soi-même. « Nous étions à moitié de tout (...) je ne suis plus qu’à demi », dit Montaigne dans ses Essais.

Ce qui nous manque, c’est le corps de l’autre comme prolongement du nôtre, plus exactement comme partie du nôtre. Quand l’autre cesse de m’aimer, c’est comme si je perdais mes propres limites, mon être s’écoule hors de moi, se vide.

Il paraît que désormais certains ne rompent plus, mais jouent aux fantômes. « Ghosting » est le nouveau nom d’une vieille lâcheté. On part sans le dire, on se contente de disparaître. Comme pour nier le fait que l’amour a entremêlé nos corps, les a confondus. Il ne suffira pas de disparaître des écrans pour cesser d’exister dans la tête et dans le corps de l’autre. Parce que l’amour laisse en moi les traces du corps aimé, parce qu’il a façonné le mien, il y reste longtemps inscrit.

Les lieux, les odeurs, les musiques ne cessent de raviver douloureusement ces traces sensibles. Torture de la mémoire amoureuse, qu’un rien sollicite quand on voudrait oublier. Force des objets et des espaces qui nous rappellent l’ancien amour malgré nous ; sadisme des rêves qui ressuscitent les étreintes et fantasment les réconciliations.

Comment survivre à une rupture ?

Que reste-t-il alors à celui que l’on quitte ? Comment peut-il s’en sortir ? Qu’on soit bien clair, il n’est pas sûr que cela soit possible. On peut s’enliser dans la rupture, la subir selon une modalité tragique, se vautrer dans son drame, le vivre comme une expérience de la malédiction. « M comme mauvaise rencontre » dit Grégoire Bouillier dans son Dossier M (Flammarion, 2017). Dix ans à décliner sous tous les modes l’obsession de la figure aimée et perdue, l’impossible deuil amoureux. Dix ans à retranscrire dans tous les domaines la compulsion, la systématicité et l’intensité passionnelles, jusque dans l’humiliation, la déchéance et l’abjection. Car c’est aussi parfois ce que la rupture fait de nous. Un être méconnaissable, devenu méprisable comme pour donner raison à celui qui l’a quitté.

Devant ce témoignage inquiétant, que pouvons-nous encore espérer ? Comment survivre à une rupture amoureuse ? Michel Leiris, relisant la Modification, de Butor, nous donne une lueur d’espoir dont chacun fera ce qu’il peut : « Apporter à [notre] incapacité de transformer positivement [notre] vie une compensation littéraire dont le récit de l’échec [nous] fournira la substance. »

C’est peut-être ce que tout échec nous oblige alors à faire : trouver une compensation, rétablir un équilibre par une forme de création, répondre à la personne qui nous a meurtri et ainsi réaffirmer la valeur qu’elle a niée en nous.

La rupture est l’occasion douloureuse de découvrir ce dont nous sommes capables – souvent plus que ce que nous imaginions – et ce à quoi nous tenons vraiment. Et cela pourrait se révéler très différent de ce que nous étions si désespérés d’avoir perdu.

Claire Marin est professeure de philosophie, membre associé de l’ENS-Ulm et de la Chaire de philosophie à l’Hôtel Dieu. Ses recherches portent sur les épreuves de la vie. Elle a notamment consacré plusieurs essais et récits à l’analyse de la maladie (dont « Hors de moi », Allia, 128 p., 2008). Nourri de son expérience pédagogique, son dernier ouvrage, « La Relève » (Ed. du Cerf, 240 p., 18 €), retrace des parcours de réussite de la jeunesse de banlieue. Elle est aussi l’auteure de « Qu’allons-nous devenir ? La technique et l’homme de demain » (Gallimard, 62 p., 10 €).

 

 

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 fêteS de fin d'année 2022/2023

 

   
     
     
     

 

 

Ces journées de fin d’année ont été vraiment pour moi des « journées de dévoilement » autrement dit d’  « apocalypse » ….. suivant la définition qu’en donne René Girard …..

 

Et alors ?      

.. l' ENtre-relationnalité GENérale ...

 ... un long processus d'homonisation ..

 

 

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le COUPLE

 
 
 
 
 
....... vers ses 22 ans ... elle se mariera ayant fété la Sainte Catherine à 27 ans ..
.... elle était très attachée à l'Alsace ... à la France ..

j'ai comme elle un profond amour pour cette terre...  tant et tant traversée, déchirée, violée ..

 

 
 

 

l'Êsprit de vérité

l'ENtre-ENergie VIEtale

 
     
 

 

 

 

 

 
 

 ...avec cette dédicace ...

... ils avaient 82 ans ...

....

à 8 ans du décès pour "Papa" et 15 pour " Maman" ...

... j'en avais 54 et NOUS habitions le Vésinet depuis plus de 20 ans ..."Mémé" y avait pris "racine" au Vésinet ...en 1986

... nous étions de retour des USA depuis 2 ans ...

 

 

 

 

 

 

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ÉDITO

L’Arche, Jean Vanier,
le bon grain et l’ivraie

Lundi 30 janvier, les deux commissions indépendantes – l’une mandatée par L’Arche, l’autre par les dominicains pour faire la lumière sur les abus commis par Jean Vanier et les frères Philippe – ont publié les conclusions de leurs travaux. La lecture de ces pages (plus de 1 600 au total) est éprouvante. Elles révèlent la persistance, pendant des décennies, d’un noyau sectaire aux croyances et pratiques mystico-érotiques au cœur de l’Église. Elles confirment que Jean Vanier, le fondateur de L’Arche décédé en 2009, était lui-même impliqué dans ces agissements. C’est ainsi qu’il a habilement fait glisser l’accompagnement spirituel de femmes qui s’adressaient à lui vers des relations sexuelles sous emprise.

Dans le rapport commandité par L’Arche, une partie est consacrée à la spiritualité de Jean Vanier, rédigée par Gwennola Rimbaut. La théologienne a relu, dans une perspective critique, une bonne partie de ses ouvrages que beaucoup d’entre nous ont lus et appréciés. Pourtant, une lecture systématique et attentive met en évidence un grave écueil qui explique pour partie les dérives de Jean Vanier : le déficit d’altérité.

Un exemple : le rapport à la Bible. Si, dans ses premiers livres, Jean Vanier cite explicitement l’Écriture, les références disparaissent par la suite. Pourtant, ce qu’il écrit semble pétri de la Parole de Dieu. Mais la diversité – et donc l’harmonique – des Écritures est peu honorée (l’Ancien Testament est rarement cité). Et quand il évoque des passages bibliques, il y ajoute des éléments ou des précisions qui ne s’y trouvent pas. Ce n’est plus la Bible qui parle. Elle n’est plus la parole qui vient de l’Autre qu’est Dieu. Elle ne joue plus son rôle d’interpellation. Elle est faussée en fonction d’une interprétation préétablie.

De même, la pensée de Jean Vanier n’entre jamais en dialogue avec celle d’autrui quand il commente l’Écriture. Il n’y a guère chez lui d’articulation entre foi et raison, entre cœur et intelligence, entre approche personnelle et ecclésiale, souligne Gwennola Rimbaut.

Ce déficit d’altérité se retrouve aussi dans son positionnement de guide et de maître spirituel, ou dans sa spiritualité de communion qui ne présente pas toutes les garanties pour préserver la singularité des personnes. Tout ceci, associé à un charisme personnel indéniable, explique pour partie les comportements déviants de Jean Vanier.

L’Arche semble pourtant en avoir été préservée. Jusqu’à preuve du contraire, il semble que les personnes ayant un handicap mental qui y ont été accueillies depuis août 1964 n’aient pas été victimes d’abus. Parce que, suggère la théologienne, ce type d’accueil introduit de fait de l’altérité : « celle de ces personnes, dont l’accompagnement nécessite rapidement l’acquisition de compétences professionnelles ; celle aussi des pouvoirs publics qui financent leur accueil, et qui de ce fait imposent des cadres légaux et exercent un droit de contrôle, en France comme dans la plupart des autres pays d’implantation des communautés de L’Arche. » C’est le lien avec le monde extérieur, la confrontation à une altérité, qui ont préservé L’Arche de la logique sectaire et protégé les résidents de l’emprise.

Reste que les écrits de Jean Vanier ne peuvent plus être lus comme auparavant. Un tri est nécessaire pour en garder le meilleur. La tâche n’est pas facile tant le bon grain et l’ivraie s’entremêlent de façon inextricable, reflet de « la complexité humaine » de Jean Vanier. « Mais l’ivraie n’élimine pas le bon grain ! », écrit Gwennola Rimbaut. Et du côté du bon, il y a cette intuition au sujet de l’éminente dignité des personnes porteuses d’un handicap mental que continuent de faire vivre les communautés de L’Arche.

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AFFAIRE JEAN VANIER ET FRÈRES PHILIPPE, UNE SECTE AU CŒUR DE L'ÉGLISE

 

 

 

 

 

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 c'est quoi ton évolution ?

qui es tu ?

 

 

quel est ton cheminement ?

 à

de l'ENtre-AGITer dèsintèressé*

 

qu'éprouves-tu?

 

 

 

 ma 

 petite-forte voix

   intérieure  *

 

JE

                      

mon

compendium de

             l'ENtre/DEUX f-h   

     

                      NOUS                               

   mes

perspectives

in / extérieures

 

Â

2023      
04.02.23 c'est ici    
       
 2022      
 3.nov

 

souverain en MON droit...

   
6 oct  

 

" ...après nous le déluge ..."

..... à l'ENtre-GUERRE  .....

 
5 ot    

 5.oct    

 

5 oct  

v^v^v^vibrations***

glanées

en fevrier 2021

 
04 oct

JOURn'ANALYTIQUE 1948***

...de ma découverte du monde extérieur des livres et du DEUX ..

   
   

 

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OCTOBRE 2022

 
jeudi 29

 

Se savoir aimé, c’est commencer une nouvelle vie.

 

µµµµµ µµµµµ
 mercredi 28 .... du déni .....    
 mercredi 28  

l' ENtre-JEu(x) comme symbole du monde... ?

µµµ µµµ
 

"il faut gagner sa paix intérieure»

   
  mardi 27      

avec LE TEMPS

..... cultiver sa distanciation

c'est illuminer

avec LE TEMPS

..... cultiver sa curiosité ..... 

c'est illuminer

avec LE TEMPS

..... cultiver sa curiosité ..... 

c'est illuminer

 
 Lundi 26 ..... bite/bouche ..... 

 

 

 
     Vendredi 23  

 

  ...NOUS vivons une époque "CHAR/NIERe"...  

 
   

 

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SEPTEMBRE 2022

 
       
 

 

 

   
 jeudi 4 août  

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 vendredi 5

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language EN commUN

   
samedi 6  

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"youyou*"...

... Et alors raconte...

 
jeudi 11      
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